Istanbul, visites

Dimanche 28 août 2011

Allez, hop, on commande la remorque Y-frame (grande et grand sac) et plaquettes de frein (c’est bête, j’en ai à la maison).
On part visiter le musée Ayasofya (ex-mosquée et ex-basilique), comme tout le monde (on verra à notre sortie qu’il n’y a plus de file à l’entrée). Très joli, je m’en souviens vaguement (voyage avec l’école en 1998), mais ce n’est pas vraiment un musée comme on l’entend (pas d’oeuvre exposée mais le bâtiment et ses murs décorés).
Retour à l’hôtel pour une petite session Skype familiale puis tentative de visite du Grand Bazaar avortée car fermé… dimanche, tout simplement, mais les ruelles désertes font presque du bien!
On s’achète nos premiers loukoums, miam! Puis on attend Doğan pour récupérer nos essuies oubliés chez eux, mais il ne viendra pas, pas de nouvelles.

Lundi 29 août 2011

Elodie cherche des infos pour l’Iran et désespérément pour le Pakistan. On fera le visa iranien à Trabzon où il est délivré dans un délai de 2 à 48h!
On rencontre Bado qui fait le lien entre Sapim (fabriquant belge de rayon), le mécano et nous. Le vélo sera remis « sur roue » en 3h chrono.
Pendant ce temps-là, on passe au consulat Français (il ne faut pas signaler notre présence dans le pays, c’est safe) où on nous donnera une soi-disant attestation comme quoi le consulat ne donne plus d’avis de recommandation (pour le visa pakistanais), il faut la jouer au bluff d’après le policier français. On verra si on le fait ici.
Après, on visite la Yeni Cami (Mosquée Neuve) un peu par hasard et le quartier de la tour de Galata, entre autre à la recherche vaine d’une librairie francophone pour trouver un guide sur la Turquie. Visiblement ça sera peut-être un Lonely en anglais (bon exercice pour Elodie).
On récupère le vélo (roue impeccable, belle tension) et on achète une tige de selle sans recul de marque Amoeba (Taïwan) pour le confort de mes petites fesses.
Info pratique : on dépose notre linge sale et sacs à viande à la « Laundry Express » de temps en temps, après Belgrade ça sera ce soir à Istanbul!

6 thoughts on “Istanbul, visites

  1. jeuvoyageurs

    Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué..C’était si simple de prendre les visas Iran et Pakistan avant le départ…

    La plus sympathique entrée en Asie, c’est le ferry à Galatas puis remonter le Bosphore jusqu’à Beykoz puis petite route et vallonnements plein est, 300-400 kms vers Karabuk, Kastamonou et ses Loukoums,….

    Bonne route: mon record à battre: accepter tous les « RIZE çay » offerts : 21 en une journée. Il ya aussi les « PICNIC » du dimanche… Trois ( en..50 kms), avant le partage des gâteaux et limonade avec policière-policiers à l’entrée de Bitlis à l’heure du tea-time bercés par la musiaque de l’auto-radio le la sympa POLIS…

    Nefis.. çok Guzell…et Güle Güle

    1. Geoff & Lodi Auteur de l’article

      Pour les visas, c’est surtout une question d’improvisation que nous voulions nous garder (« et si on restait 4 mois en Turquie, chéri? »). Merci pour les autres infos précieuses pour la sortie de cette énoOorme ville!

    2. Geoff & Lodi Auteur de l’article

      Concernant le ferry jusque « Galatas », c’est probablement une erreur car Galata, c’est à côté, pas la peine de prendre le ferry (idem s’il s’agissait de Kabataş). Par contre, pour prendre un ferry direct vers Beykoz, là on doit traverser de Eminönü vers Üsküdar pour ensuite prendre celui qui va à Beykoz. Ça nous permettra de s’enfuir de cette grande ville par l’eau! Tu conseilles plutôt la route?

  2. Christophe

    Ouais, Beykoz je pense que c’est tout bon.
    Nous, on avait juste traversé jusqu’à Üsküdar et puis vélo… l’horreur intégrale, on a mis une grosse journée à sortir de la ville.

    1. Geoff & Lodi Auteur de l’article

      « Üsküdar et puis vélo », mais tu veux dire le long du Bosphore vers Beykoz ou à travers la ville vers l’Est? On aurait bien aimé aller jusque Beykoz en ferry mais on a DE NOUVEAU une info contradictoire : on nous a dit « Üsküdar then Beykoz bus » (alors s’agit-il d’un seabus ou d’un bus tout court, on le saura à notre départ).

      1. Christophe

        üsküdar et puis vélo vers l’est à travers la ville, mais comme les grands axes sont interdits aux vélos, on avait dû mal à garder le cap dans tous les quartiers résidentiels, donc plein de détours, etc.

        Lors d’un autre voyage, on avait pris un bateau (à mi-chemin entre le bateau touristique et le ferry) depuis Eminönü jusqu’à l’embouchure du Bosphore dans le mer Noire. Il me semble qu’il faisait des arrêts sur les 2 rives puisqu’on y avait rencontré des cyclistes qui l’utilisaient pour sortir de la ville mais je ne sais plus précisément où ils étaient descendus.

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