Parmi les questions importantes, on a la question de la subsistance autonome. Le filtre à eau est bien entendu emporté, mais moins évident, le fait de pouvoir manger sans ville ou village à proximité est un problème à penser. Emporter des réserves de bouffe pour plusieurs jours, des repas lyophilisés ou, si l’on suit un cours d’eau, prendre une canne à pêche (et apprendre à s’en servir). Quelques renseignements pris dans un magasin de pêche du côté de la Barrière de Saint-Gilles : les modèles de cannes corrects sont de l’ordre de 65 cm repliée et 2,70 m déployée. Y a pas vraiment plus petit. À méditer!
En suivant ça Fabriquer une canne à pêche, ça devrait pouvoir s’arranger sur place, non ?
Refaire le plein de protéines, c’est bien. Mais c’est un tout petit peu insuffisant. Il y a plein de chose comestible à cueillir. En plus de savoir pêcher, je te suggère un stage pour apprendre à reconnaître les plantes sauvage qui peuvent se manger. En plus ça marche même sans rivière.
Je comptais bien acheter un bouquin sur les plantes mais si tu as une adresse pour un stage, je suis preneur! eurasia (at) cyclic.eu 🙂