Question Mer Noire

Pour gagner la prochaine carte postale de la côte Bulgare (Mer Noire), répondez simplement aux questions ci-dessous.
Question principale 1 : en Bulgarie, qu’est-ce qu’un « PECTOPAHT »?
Question principale 2 : pourquoi sommes-nous allés dans la piscine du motel alors que le patron avait l’air de refuser?
Question subsidiaire : depuis quelle date Geoff n’a-t-il plus mal aux fesses?

Un cliquage au sort est prévu en cas d’ex-aequo car je sens qu’il y a des connaisseurs dans la salle!

N’oubliez pas votre adresse postale (par mail si vous préférez être discret).

Bye bye EuroVelo6

Vidin – Lom (06/08/2011)

La journée commence bien (aïe, vous sentez déjà la suite?) et on roule sur quelques grands axes mais pas trop fréquentés. L’itinéraire de l’EuroVelo6 -qui n’est plus du tout balisé dès la sortie de la Serbie- nous emmène plutôt sur une plus petite route qui longe le Danube mais on ne fera que l’apercevoir de temps en temps. Par contre, la route, c’est des « toboggans » : monter un peu, descendre un peu, monter un peu… Fatiguant. A propos de fatigue, j’ai vraiment du mal à récupérer en ce moment.
On mange tranquillement nos deux dernières énormes tomates de Girla Mare et le fromage avec du pain, on termine avec un petit Frisko (Eskimo) et en quittant le village, on prend très doucement un casse-vitesse et PAF et meeeeeeerde! Un rayon! On roule 30 pénibles kilomètres vers Lom. Pénibles car tout passe par la tête : « sommes-nous à ce point trop charger? », « Greg va se foutre de notre gueule car il nous avait pourtant bien parlé de remorque », « combien de fois cela va-t-il arriver (3 rayons en 3 semaines)? », « comment y parer? », « abandonner le Pino pour des trikes? » Sur cette dernière, Elodie me rappelle à l’ordre, la question sera donc « que va-t-on renvoyer? » On va aussi penser à se faire envoyer des rayons super costauds (Sapim ou DTSwiss?) et des nipples Polyax de chez Sapim, ça aidera sûrement. Faudrait aussi l’adresse d’un super monteur de roue, éventuellement sur Istanbul.
Soirée à Lom qui semblait petite et vide mais qui s’est dévoilée vivante et en pleines transformations! L’année prochaine, ça sera super ici!

 

Lom – après Mizia (07/08/2011)

Aujourd’hui ça va mieux. On quitte l’hôtel (oui encore mais c’est déjà pas cher par rapport à nos campings de l’Ouest). Et on roule pas mal jusqu’à Kozloduy pour manger où on se fera accoster par deux cyclistes de la bonne cinquantaine d’abord intéressés par le tandem puis par notre trajet et ils nous déconseillent vivement l’EuroVelo6 (« Ne! » avec l’index bien dressé) apparemment routes en mauvais état et montées/descentes. Ils nous parlent aussi de faire attention aux chiens et on leur montre notre beau bâton (rires). Ils nous disent aussi de faire attention aux « tzigani, Francia Rom ». Après le Hongrois, le Bulgare semble aussi « se méfier » des étrangers, ces pays n’ont pas -comme chez nous- de vie très cosmopolite, ça aide. Ils nous filent une carte de la Bulgarie à 1:540000è de 2007, très bien, on ne devra pas en acheter, ça nous suffit je pense. Le type estime à 440 km jusque Varna et il a l’air de bien connaître. On suivra donc les conseils locaux, demain fini l’EuroVelo6.
On continue la route et on s’arrête quelques instants en bord de route pour le goûter (on croise deux « roms » avec des pastèques qui semblent nous dire « namaste »). En roulant plus loin, on passe à côté d’un charmant motel bien entretenu et bien décoré. On se laisse croire que ce n’est pas cher mais c’est 26€ pour le bungalow. On demande alors s’ils connaissent un endroit pour la tente et le patron propose qu’on plante la tente gratuitement au bord de la piscine dont on profitera aussi! Douche et WC sont compris dans l’offre gratos! Chouette! Une nuit en tente avec tout le confort!

 

Mizia – Pleven (08/08/2011)

La journée commence mal (aïe, vous sentez déjà la suite?) 😉 On casse d’entrée de jeu un rayon après 8km dans l’effort d’une dure montée qu’on terminera à pied! Rayon changé sur le champs ainsi que ses deux camarades de gauche et droite par sécu. L’incident ne me touche plus, ça devient mon train-train quotidien. Un rayon par jour, en forme toujours! Non bon, on pense sérieusement à se procurer une remorque à faire livrer à Istanbul.
Sinon aujourd’hui, on a suivi l’itinéraire conseillé par le monsieur et ça roule bien, on avance et c’est pas désagréable. Grosses routes mais toujours la même prudence depuis la Hongrie (écart au dépassement) donc pas de soucis. Juste deux montées faites à pied en poussant, trop dur, trop chaud (33°C à l’ombre, et les routes sont… en plein soleil, merci).
On arrive à Pleven sans encombre mais assez tard car on a perdu du temps avec le rayon cassé et on a traîné pour la pause « midi » tellement il faisait chaud! Journée « sueur » j’ai envie d’dire! La ville de Pleven (sans attrait touristique particulier) et son énorme zone piétonne nous semblent agréables et nous y passerons la journée de demain (mission cartes postales et deuxième tri/envoi pour le poids des bagages). On pense à s’équiper d’une remorque si les problèmes continuent malgré l’allègement prévu (ouais ouais Greg, marre-toi) 😉

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Roumanie, c’est fini

La Roumanie, au début, c’est chouette et c’est vraiment beau, comme on le disait. Mais avant-hier, on a eu une étape un peu difficile qui nous a mis un peu le moral dans les chaussettes… (ah merde non, on est en sandales sans chaussettes). Cependant, le soir, on a compris beaucoup de choses!
En quittant Drobeta, on ne fera que traverser des petits villages déserts avec, au mieux, quelques maisons et une église. Aucun magasin, pas le moindre Mini-Market à l’horizon! Mais comment ferons-nous pour trouver à manger et surtout à boire! Dans l’aprèm, on aperçoit un gars entrer et sortir d’une maison en fait transformée partiellement en mini magasin mais très peu à manger, surtout des boissons. Sauvés pour l’eau car les pompes bleues (réapparues) ne fonctionnent pas. On roule, on roule et on n’ose pas encore demander pour un hébergement (on n’a pas encore la fibre communication). On se décide à demander et on nous indique « toujours tout droit » et on croit comprendre « hôtel », ce qui ne nous arrange pas puisqu’on demandait juste un endroit pour la tente (on avait encore ce qu’il fallait pour manger). Surpris par la pluie, on s’abrite et on attend dans un étrange village peuplé de voitures immatriculées en France et en Belgique! On apprendra qu’il s’agit de Roumains établis par chez nous qui reviennent voir la famille pour les vacances. On est accosté par des « français » qui nous invitent « à la maison »! Trop cool! Ion travaille sur chantiers en région parisienne et Adrianna garde les enfants à… Anderlecht (commune de Bruxelles, pour nos lecteurs français et outre-mer)! On est donc accueillis comme des rois chez les parents d’Adrianna : douchés, nourris et presque bordés. La nourriture est entièrement faite maison, du pain au fromage en passant par les saucisses! Et oui, voilà pourquoi si peu de magasin, ici tout le monde a tout à la maison, des poules au cochon et même le puits (pas d’eau courante)!
Dans la région, l’activité agricole a quasi cessée car pendant la période Ceauşescu, tout le monde bossait dans les énormes fermes -maintenant abandonnées (voir une photo)- et ça marchait bien comme ça. Et si on te trouvait à rien faire dans la rue sans justificatif, hop prison (le cas du papa de Ion, alors malade à l’âge de 16-17ans, sa mère n’avait pas encore eu le temps d’avoir les certificats).

Le soir, on a voulu payé un coup à boire mais Ion n’a pas accepté : « ça ne se fait pas ici »!
Le lendemain matin, petit déj servi : oeufs, pain tout frais, confiture maison, fromage… Et on repart avec 3 grosses tomates, du pain et du fromage (on a dû refuser le gros pot de confiture, trop lourd).

On se décide à quitter la Roumanie pour aller vers Vidin, petite ville bulgare calme mais bien imprégnée du communisme (et ses buildings, cfr photo). On en a pas vraiment encore vu grand chose. On profite du fait qu’on rencontrera plus de petites villes en passant par la Bulgarie plutôt qu’en Roumanie. On court-circuite aussi l’itinéraire de l’EuroVelo6 pour « gagner » quelques jours et progresser vers Istanbul.

La carte et les dernières photos sont en ligne!

Prochaine carte

On vous dit pas de où car on n’a pas encore vu de carte ici en Roumanie… Donc ça sera surprise pour la prochaine carte!

Question : quelle est la marque et le modèle de cette voiture?

Question subsidiaire : combien coûte le super bon chausson aux pommes ici à Drobeta-Turnu Severin?

Roumanie, ça change!

A nouveau une petite étape pour le 31 juillet, anniversaire oblige. En fait, non, surtout pour changer les rayons cassés, oui LES! En fait, quelques jours plus tôt, j’avais entendu le même bruit que « paf le rayon » mais je ne voyais pas où car il avait cassé côté flasque de moyeu contrairement au deuxième (côté jante). 

Etrangement, il n’a pas plu cette nuit-là (quelques gouttes pendant 5-10min) et ce matin non plus. On a démarré secs en se dirigeant vers la ville où le magasin de vélo se trouve (ah mais, on c’est dimanche, on croise les doigts). On a quitté la « Srbjia » pour la Roumanie (pas de cachet dans les passeports, même après demande d’Elodie, « Yourop miss ») et soudain tout a changé : l’état des routes, le niveau de vie apparent, l’heure, la météo et le paysage (dommage pour Ole et Soph). On s’est fait notre premier vrai col à… 408m! Dur dur! On n’a pas profité de la descente puisqu’on s’est méfié du voilage de la roue arrière.
Arrivés à la ville où il devait y avoir un « bike shop & repair » d’après la carte de l’EuroVelo6, nada, pas de réparateur à Moldova Veche. On a décidé de rouler encore un peu mais de s’arrêter assez vite histoire d’avoir le temps de faire ça nous-même. Merci les ateliers Voot pour les montages et dévoilages de roues effectués l’année passée, ça m’a bien aidé, j’ai changé les deux rayons cassés ainsi que les deux autres de part et d’autre car ils ont dû souffrir aussi. La roue est nickel, j’ai utilisé un rayon pour faire ma « jauge » (voir photo). Petit coup d’huile sur les chaîne tant qu’on y était et le tour était joué. J’étais content de faire un peu de mécanique finalement! Ca aide aussi quand ça se passe bien.

Vue magnifique, resto hôtel au milieu de nulle part et dessert banana-split pour l’annif!

Le 01/08, belle étape plate (sauf à la fin) avec le vent dans le dos. Très beaux paysages du Danube se faufilant entre les collines ensoleillées (on crame bien). On voyait donc en permanence la berge Serbe et ses villages fournis alors que de notre côté, rien à l’horizon. Les magasin se font déjà rare, c’est un peu la campagne en bord de Danube.
On a passé la journée à dépasser et se faire dépasser par un groupe de canadiens anglophone tous habillés pareils, ils vont à Istanbul (comme beaucoup).
On a terminé la journée avec un repas léger : chips, carottes crues, emmental, cul de pain d’hier et petits Princes fourrés. Heureusement, le midi on avait fait des pâtes et pour matin on a un cake au noix. On aura de quoi rouler jusqu’à la prochaine ville Orsovar puis on dormira à Drobeta-Turnu Severin. Pour le soir, c’est camping sauvage dans un endroit très calme, jusque 20h, moment où des jeunes sont arrivés pour camper et faire un feu tandis que d’autres viennent écouter leur autoradio boum-boum sur la pelouse d’en-face. A la base, on cherchait le camping indiqué sur les cartes Eurovélo6 reçues (décidément, cette carte* n’est pas terrible). Pour l’eau, on en a reçu de notre voisin du jour car on était à court le soir.

*Donau Radweg (Budapest-Mer Noire), Huber Verlag, www.kartographie.de, ISBN 86-85857-18-X, 3è édition (pas de date), échelle 1:100000.

Le matin du 02/08, on s’est réveillé après 12h (de sommeil) vers 8h (du matin) avec le bruit d’un cheval à côté de la tente! Ils sont en liberté ici dans la région.
On a fait une étape plutôt normale et ensoleillée, mais on a emprunté une route « dangereuse » selon la carte et les critères Olivierois (obligés, c’est la seule). Finalement ça va, malgré les travaux, même les camionneurs sont cools. De toute façon, on ne peut pas se permettre d’avoir peur dans ce genre de circulation quand on sait vers où on se dirige! On est passé à côté des « Portile de Fier » (barrage sur le Danube, j’ose pas imaginer la puissance du bazar ainsi que la longueur des écluses pour les péniches « triple »** qui remontent le Danube).
On est donc arrivé dans la tranquille Drobeta-Turnu Severin et son « hostel » un peu basique mais propre (merci le Routard, merci Soph). C’est décidé, on restera une deuxième nuit car la petite ville nous plaît et puis, on ne s’est pas vraiment encore arrêtés (sauf Belgrade) depuis ces deux premières semaines. Aujourd’hui donc, c’était journée sans vélo à Drobeta!

**voir l’une ou l’autre photo.

On peut dire que vous êtes plutôt gâtés en ce moment au niveau news! N’y prenez pas trop goût (en même temps, ça vous indique qu’internet, ça se trouve quasi partout sur notre chemin, pour l’instant).

Pour ceux que ça intéresse, nos traces GPS quotidiennes se trouvent dans le dossier https://eurasia.cyclic.eu/maps/gpx/ mis à jour dès que possible.

Pour info, on va probablement passer côté Bulgare à Vidin et ne pas terminer l’EuroVelo6 qu’on quitterait à Roussé pour aller vers Varna. Ensuite on descendrait la côte direction la Turquie. Voilà pour les idées du jour.

Bises

Topo Hongrie-Croatie-Serbie

Hongrie :

  • bonne conduite des automobilistes (écart au dépassement).
  • beaucoup de cyclistes utilitaires (moyen de déplacement accessible à tous).
  • de l’eau potable quasi partout en rue (pompes bleues).
  • peu de langues étrangères connues, mais débrouille avec signes, allemand, anglais, français, magyar (on a quelques mots).

Croatie :

  • les « pompes » bleues qu’on voit en rue ne sont pas l’eau potable mais l’eau pompiers (de loin on y croyait comme en Hongrie, zut). Pas de soucis en approvisionnement en fontaine potable ou chez le particulier.
  • séjour un peu court, mais le croate du Nord semble plus correct sur les routes que le croate de la côte.
  • encore quelques terrains minés 😉

Serbie :

  • jolies filles.
  • dépassements moins sympas qu’en Hongrie (mais pas pire qu’en France).
  • le serbe klaxonne pour 2 raisons : dire qu’il va te dépasser et/ou dire bonjour (le « bonjour » est plutôt énervant dans la mesure où ça effraie et que le niveau sonore est fort).
  • pour l’eau, pas de soucis en approvisionnement en fontaine potable, chez le particulier voire même en supérette (après petits achats).
  • le contrôle technique automobile ne doit pas être très exigeant vu les odeurs et la couleur des gaz d’échappement qui nous ont un peu asphyxiés.
  • Belgrade n’est pas une ville à vélos, mais certains le voudraient (interview télévision locale www.studiob.rs en sortant de la ville). Pas de chance, en plus y a du relief difficile.
  • accueil le meilleur (chez une dame qui nous a fait à manger et hébergés, dans la maisonnette du verger d’un monsieur à qui on avait rien demandé).
  • beaucoup de chiens en liberté, tantôt devant les propriétés, tantôt au milieu de nulle part. Ca ne nous rassure pas pour la suite car il parait qu’il y a beaucoup de chiens en Roumanie… Mais pourquoi ça ne nous rassure pas? Parce qu’ils ont tendance à nous poursuivre en aboyant et grognant, du coup on accélère. On sait pas s’ils mordent, mais on a pas trop envie de s’arrêter pour voir. Pour l’instant, que des petits/moyens toutous, ouf! Elodie qui adore les chiens… ça risque de changer. Bientôt le bâton?

 

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Premiers kilomètres seuls

Vendredi, après avoir versé une larme en disant au revoir à Olivier et Sophie, on se fait happer pour une interview à propos de la cyclabilité de la ville.
Pas encore grand chose après, des petits villages, très peu de relief et des routes roulantes et pas encore trop fréquentées. Vers 17h, un type nous fait signe sur le côté, il bredouille dans un français approximatif qu’il veut nous donner des fruits de son verger. Cool! On doit absolument venir voir, nous dit-il. En fait, cet ancien directeur d’hôtel nous propose de dormir dans la maisonnette qui est sur son terrain (verger, vignes). Il nous amène encore des légumes, saucissons et du pain du village (Skorenovac). La belle vie quoi. Petit coup de blues pour Lodi par rapport au confort sur le long terme (la fatigue aide). Au lit tôt et tout ira mieux.

Samedi, après une bonne mauvaise nuit sur des lits des années 50 (mais au sec), on dit au revoir à notre ami le chien du verger et on roule 50km avant de s’arrêter dans un camping au bord d’un lac près de Bela Crkva. Le paysage a un peu changé, un peu comme des dunes, moins de champs et plus sauvage (on reste sur une route goudronnée quand même).
Le camping est près d’une pseudo plage/brasserie où nous profitons de la météo et des tables pour écrire ces quelques lignes, écrire dans notre carnet papier (Elodie) et s’enfiler quelques Coca et Jelen Fresh (bière blanche/panaché au citron).

Constat technique : on a pété un rayon à l’arrière ce matin, comme ça paf sur du plat, et la roue voile salement! Heureusement, demain on devrait croiser un vélociste (d’après la carte EuroVelo6 reçue de l’office du tourisme de Belgrade) qui nous arrangera bien ça! Autre constat, on perd de l’huile du Rohloff mais rien d’inquiétant d’après ce que j’ai compris des explications de Rohloff, c’est juste que les rayons et la jante sont bien crades.

Aujourd’hui on passera en Roumanie et donc changement d’heure (Bruxelles +1h).

БЕЛГРАД

Chez notre Mama-Serbia, Ana.Après un repas (oeufs, jambon, fromage homemade) et une nuit au sec chez notre « Mama Serbia » entourée de ses caniches (dont une championne de Serbie), le petit déj -lui aussi offert- nous permettra de faire une courte étape qui nous mènera à Belgrade, alias Beograd ou БЕЛГРАД ou encore БЕOГРАД. L’alphabet cyrillique nous passionne.

Petit hôtel dans le centre. Visite de cette ville cyclo-antipathique, personne ne s’étonne de nous voir rouler sur les trottoirs. Quelques photos dans l’album si la connexion le permet.
https://eurasia.cyclic.eu/photos/serbie/

Avis aux célibataires (hommes), apprenez le serbe, les filles sont superbes… « Tu croyais tout savoir, mais tu n’as rien entendu finalement! »

Demain départ de nos accompagnateurs, Ole et Soph, en direction de Budapest (15€ l’aller, c’est rien du tout mais c’est 8h). On sera livré à nous-mêmes, fini les vacances où le gentil Olivier va demander l’info pour nous, fini les grasses rigolades entre mecs. Bonjour l’aventure! 🙂

Novi Sad

Zdravo!

Hier soir, à Packa Palanka (Serbie), rencontre d’un cyclo Suisse-italien seul (Brandon, alias le Gipsy-Lawyer) avec qui on a partagé un petit repas épicé. Après une nuit de pluie intense, une petite étape correcte pour s’arrêter à Novi Sad. Chouette petit hôtel car l’humidité commence à nous gêêêner (dédicace Jâââk).

Photos

Quelques photos en ligne. Les plus récentes apparaissent d’abord.
On est donc en Croatie à Vukovar encore bien déchiquetée… Pas mal de pluie mais ça roule. On passe la frontière serbe aujourd’hui en direction de Novi Sad. Hier grosse étape de 100km et apparemment plus de camping en vue (déjà 3 nuits en « camping sauvage »), alors on s’est rabattu sur l’hôtel 4 étoiles 🙂

Bises, les bronzés malgré tout.