Site et matos

Le site a un peu changé, mais vous ne l’aurez pas remarqué puisque vous n’aviez pas l’adresse avant ce message. Bref, je passe beaucoup de temps à tester plein de chose (affichage des photos, mises en page,…)

À propos du matos, je suis passé chez Starpole l’autre jour et franchement, ils ont l’air de s’y connaître! Pas étonnant qu’Alice & Andoni s’y rendent pour leurs achats! Le type m’a montré des vestes DirectAlpine 345€ > 260€, mais après réflexion plusieurs détails ne me plaisent pas (dont l’absence d’ouverture sous les bras). Par contre, nouvelle qui réoriente le choix de la tente, MSR va sortir en 2011 une abside/extension à la Hubba Hubba : la Gear Shed! C’est tout ce qu’il manquait à cette tente réputée! Ça relance donc la question de la tente autoportante! Autres nouveautés MSR : la Hoop (étrangement ressemblante à la Hubba Hubba) et la Holler (3p).

Plumes ou synthétique

La question a été posée à l’allergologue d’Elodie et visiblement aucun problème du côté des plumes! Bonne nouvelle! Reste plus qu’à essayer une nuit dans le sac de couchage que Tanguy nous a prêté! Les réactions faites aux plumes ne seraient-elles que psychosomatiques?

Mmmh… à suivre!

Sponsors… quand même!

On verra leurs conditions, mais sait-on jamais! Et comme le dit si bien le dicton/le proverbe/le vieil* adage / la maxime (je sais plus moi) : qui ne tente rien, n’a rien!
On se lance donc dans l’aventure du sponsorship (et les heures de boulot qui vont avec)! Lettre type, publipostage, nom, logo, recherche d’adresses mail, recherche d’adresses postales, recherches de catalogue, épluchage de catalogue,… C’est pas triste!

Mais déjà un contact intéressant avec Lightwave (constructeur de tentes anglais) en Belgique qui nous lance sur la piste de produits prototypes à prix abordables!

Comme d’hab, je dirais… à suivre!

* pléonasme? Un adage est par définition « vieux » puisqu’issu de l’expérience… quoique!

Tente et sacs de couchage

On s’oriente vers une gamme au-dessus de ce que Geoffroy a souvent acheté, besoin de vraie qualité et durabilité!

Pour la tente :
On laisse la Quechua à 100 € à la maison car c’est pas sérieux (bien pour l’été en Europe). On quitte définitivement Jack Wolfskin (ça faisait déjà longtemps) car ils n’ont même plus de tentes sur leur site web! On quitte aussi Vaude qui, malgré ses prix parfois élevés, reste « grand public » et d’après un vendeur/randonneur leur ripstop n’est pas des meilleurs. Du coup, on change de budget aussi et de 250 € on passe plutôt à 500 €… Faut ce qu’il faut!
On s’oriente plus vers des marques comme Wechsel (un peu lourd), Lightwave (modulable), Hilleberg (Norvégien) ou encore Helsport (Suédois).

Pour les sacs de couchage :
Le dilemme est – et sera – toujours le même, combiner les trois éléments suivants pour un meilleur compromis : chaleur, poids et compacité.
On laisse donc tomber directement Quechua sans même y penser et on s’oriente vers les spécialistes du sac de couchage comme Rab (trouvé chez Lecomte Flagey) ou d’autres cités sur Wikipedia (Ajungilak, Carinthia, Valandré, RAB, Triple Zéro, Lestra Sport, Yeti).
Cependant, la question de l’allergie aux plumes pour Elodie reste en suspens et bloque le processus de recherche approfondie.

À suivre!

Deux idées, une réflexion

Idée n°1 : un titre, un concept soufflé par Ole : « Buda To Buddha » de Budapest aux pays du Bouddhisme…
Idée n°2, apparue en visitant Budapest : on embarque (en train!) tous les potes qui le veulent à Budapest, on réserve un bonne partie de l’auberge « BackPack » où nous sommes restés deux nuits cet été. On y passe 2 ou 3 jours et en avant!
L’idée est lancée, à vos agendas pour début juillet 2011!

Réflexion : Ole et Soph seraient bien branché de nous retrouver sur le chemin de notre aventure quelque part entre l’Europe et l’Orient, mais une chose me (Geoff) chipotte. On fait tout pour ne pas prendre l’avion, mais par quel moyen de transport vont-ils nous rejoindre et comment prévoir un rendez-vous longtemps à l’avance?!
Le plus simple, si vous voulez rouler avec nous est donc le départ ou l’arrivée (Berlin-Bruxelles), mais entre les deux, sans prendre l’avion, ça risque d’être chaud!

Infos bonus : quelques conclusions sur le matos déjà testé lors de notre voyage vers Budapest que nous emporterons : c’est par ici!

On vous laisse, on va s’entraîner

Ben ouais, là on est parti vers Budapest, ville de notre départ pour l’année prochaine avec Indeep Purple!
Aventure à suivre et à relire sur budapest.cyclic.eu!

What’s Indeep? Why Indeep?

What? Indeep, c’est notre tandem! Après plusieurs mois de résistance facile, l’acquisition de notre nouveau tandem Hase relance l’envie d’Elodie de prénommer ce Pino! Geoff n’en sentant pas le besoin (contrairement à certains cyclos ;-)), il accepte mais à une condition : c’est lui qui trouve le nom! Ça me rappelle vaguement une histoire de toutou, tiens!

Why? C’est pas compliqué, mais un peu tordu : prenez une teinte de peinture de cadre violacée, un tout bon sample de disco et un des meilleurs riff de bon vieux rock, secouez le tout : vous obtiendrez quelque chose comme Indeep Purple, bref que du bon! Et voilà notre tandem baptisé, de son prénom Indeep et Purple de son nom.

À boire et à manger

Parmi les questions importantes, on a la question de la subsistance autonome. Le filtre à eau est bien entendu emporté, mais moins évident, le fait de pouvoir manger sans ville ou village à proximité est un problème à penser. Emporter des réserves de bouffe pour plusieurs jours, des repas lyophilisés ou, si l’on suit un cours d’eau, prendre une canne à pêche (et apprendre à s’en servir). Quelques renseignements pris dans un magasin de pêche du côté de la Barrière de Saint-Gilles : les modèles de cannes corrects sont de l’ordre de 65 cm repliée et 2,70 m déployée. Y a pas vraiment plus petit. À méditer!

On y pense

La demande en mariage d’Elodie a poussé notre projet un peu sur le côté, mais on l’oublie pas! La carte évolue : l’envie d’aller plus loin nous travaille sérieusement, surtout Geoff qui a décidé de ne plus prendre l’avion et qui se dit qu’il n’ira plus jamais si loin dans cette région. L’idée du moment est donc de passer par la Mongolie, puis rejoindre Vladivostok via Bejing pour un retour en Transsibérien jusqu’à Moscou (en 6 jours). Un arrêt au Lac Baïkal, un arrêt à Moscou, puis re-train jusque Berlin. Ensuite re-vélo pour rentrer vers Bruxelles (détours possibles)!

N’hésitons pas à signaler que le Kamtchatka fait de l’oeil à Geoffroy…

Pas assez de repos

Après réflexions, un jour off par semaine ne serait pas du luxe. Ça chamboule tous les calculs et il faut prolonger le voyage pour en tenir compte. Du 10/07/2011 au 23/09/2012, ça fait 441 jours (14,5 mois). À 70 km/jr, ça fait 343 jours de route nécessaire et donc 98 jours off, soit 63 « dimanches » et 35 jours de vacances… Mmmh!

PS : La carte de travail se trouve ici.

Quelques calculs et réflexions matos

En comptant grosso-modo 24000km (juste histoire d’aller au Népal et d’en revenir), si l’on estime à 412 jours la durée du voyage, en faisant 70km par jour, on aurait besoin de 343 jours et on aurait 69 jours de « vacances ».

Une grosse question est aussi le stockage des photos : en se disant qu’on ne ferait des photos qu’avec le réflex (photos plus lourdes) avec une moyenne de 3,40Mo par photo et 80 photos par jour (beaucoup trop), ça fait 2440 photos par mois et donc 34160 photos sur 14 mois. En terme de place on arrive donc à 116 Go! L’équivalent de 25 DVD plein à craquer ou 65 cartes mémoires de 2Go!
Deux choix s’offrent à nous : le disque dur videur de carte, ou le mini-PC. Le troisième choix serait d’avoir les deux… Les avantages du premier sont le poids, le prix et la simplicité (d’usage comme de fonction). L’avantage du second est qu’il pourrait nous servir à d’autres tâches (rédaction carnet de bord, tri photos, internet wifi,…)
En terme de prix, à capacité égale et avec les prix actuels, le mini-PC nous reviendrait à 1,46€/Go contre 0,70€/Go pour le videur de carte.
Le troisième choix serait de ne sortir l’appareil qu’après réflexion et essayer de se dire « et si c’était de la pellicule?! »

Concernant le matos de camping, il nous faudra une tente plus sérieuse que la Decathlon et autoportante (type igloo) pour pouvoir la monter sans devoir planter de sardines si nécessaire. Il nous faudra aussi un réchaud de qualité à combustible différent que le « Campingaz », un filtre à eau pour avoir de l’eau (presque) partout, des sacs de couchage toutes saisons,… Apprendre à dormir sur le dos serait un super avantage : avec des matelas fin comme les nôtres (car légers et compacts), dormir sur le côté est vraiment douloureux pour les épaules à la longue.

Vous croyez que je m’y prends trop tôt? Peut-être, au moins j’aurai un peu de recul 😉